Après Caryl Ferey pour son roman Zulu en 2009, puis Hervé Le Corre pour Les cœurs
déchiquetés l’année dernière, le Cercle Rouge a décerné cette année le Grand Prix du roman
noir français à Joseph Incardona pour Lonely Betty. Lonely Betty nous plonge dans l’atmosphère d’une petite ville du Maine, la veille de Noël, la veille des 100 ans de Betty Holmes, l’ancienne institutrice. Alors que ses concitoyens s’apprêtent à fêter son anniversaire, Miss Holmes fait des révélations surprenantes sur une mystérieuse disparition vieille de soixante ans et sur un de ses anciens élèves devenu célèbre. Betty ne verra pas Noël... Joseph Incardona pastiche le roman noir, s’amuse de tous les clichés du genre et, par une habile pirouette, sa parodie devient hommage.
Ce petit roman noir, qui pastiche les grands, est réjouissance de finesse.
Lonely Betty est un pastiche de roman américain qui joue avec dextérité et subtilité des codes et des clichés. [...]Souvent les textes parodiques réjouissent l'esprit mais ne touchent pas les cœurs. Ce n'est pas le cas ici. Incardona force le trait en finesse.
Astrid de Larminat, Le Figaro.
Lonely Betty est un pastiche de roman américain qui joue avec dextérité et subtilité des codes et des clichés. [...]Souvent les textes parodiques réjouissent l'esprit mais ne touchent pas les cœurs. Ce n'est pas le cas ici. Incardona force le trait en finesse.
Astrid de Larminat, Le Figaro.
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